2022 fut une année difficile pour les épargnants qui ont dû faire face à une inflation galopante. Rares sont les placements qui ont pu afficher un taux de rendement supérieur à l’inflation. Et pourtant, la nécessité d’investir devient d’autant plus évidente en cette période pour ne pas perdre en pouvoir d’achat. Mais encore faut-il choisir les bons placements. Quels ont été les meilleurs placements en 2022, et faut-il miser sur les mêmes en 2023 ?

    Les produits structurés : le placement anti-inflation ?

    Les produits structurés apparaissent comme une alternative aux placements traditionnels avec un couple rendement/risque optimisé. En effet, le contexte économique actuel permet de concevoir des produits structurés attractifs avec des rendements dépassant les 10 % par an !

    Avec une inflation oscillant entre 4 et 6 %, bien supérieure aux rendements de nombreux placements, les produits structurés semblent être une bonne opportunité anti-inflation.

    Attention toutefois, ces produits possèdent un risque de perte en capital à l'échéance. Pour contrer cela, la plupart des structurés disposent d'une "barrière de protection". Son rôle est de protéger le capital jusqu'à un certain pourcentage de baisse de l'indice, jusqu'à 50 % pour certains !

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    Le livret A et autres livrets réglementés

    Pas de doute, les livrets d’épargne réglementée sont privilégiés par une grande majorité de Français. En octobre 2022, les Français avaient placé plus de trois milliards d’euros sur leurs livrets d’épargne dont 2,7 milliards d’euros rien que sur le livret A.

    Avec un début d’année 2022 à 0,5 % et une fin d’année à 2 %, le taux du livret A à la particularité de « suivre » l’inflation, sans pour autant combler le gap en totalité. Si on lisse à l’année, le rendement du livret A s’est élevé à 1,38 % en 2022. Rien de très prometteur quand on sait qu’en France, l’inflation a connu un pic à 6,2 % en 2022.

    Au-delà de ça, les livrets d’épargne réglementée ont de forts atouts tels que :

    • La sécurité : aucun risque de perte en capital.
    • La liquidité : un simple virement vers votre compte courant en cas de pépin ou autres impondérables pour disposer de votre épargne rapidement.
    • L’exonération d’impôt : les livrets d’épargne réglementée sont défiscalisés. Ils sont exonérés d’impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux.

    Malgré tout, les livrets réglementés devraient être plus attractifs en 2023 avec des hausses de taux prévues. C’est notamment le cas du livret A pour lequel est attendu une revalorisation au 1er février 2023. Mais cette revalorisation des taux de l’épargne réglementée sera-t-elle à la hauteur pour compenser la perte en pouvoir d’achat des ménages français en comparaison à d’autres placements financiers ?

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    L’assurance-vie

    En comparaison au livret A qui a connu déjà deux hausses en 2022 et dont le taux s’apprête encore une fois à être augmenté au 1er février, l’année a été assez calme pour les fonds euros de l’assurance-vie. Il faut dire que les rendements 2022 des fonds en euros ne seront connus que dans quelques jours voire quelques semaines. Cela fait donc de longs mois que les assurés espèrent une hausse du rendement de leur fonds euros.

    Cette hausse devrait avoir lieu puisqu’on s’attend à un rendement moyen compris entre 1,6% et 1,8%*, contre 1,3% en 2021. Bien sûr, beaucoup d’épargnants vont comparer ce rendement au taux actuel du Livret A (2%), alors qu’il faudrait le comparer au rendement moyen sur l’année du livret (1,38%).

    Malheureusement, cette hausse risque d’être insuffisante pour dynamiser la collecte sur le fonds euros.

    Sur les 11 premiers mois de l’année, les fonds euros ont en effet subi une véritable hémorragie, avec une décollecte de 17,1 milliards d'euros, trois fois plus que sur la même période en 2021. Une décollecte au profit des unités de compte et des livrets règlementés, qui est assez embarrassante pour les épargnants, quand on sait que le livret A n’a rapporté « que » 1,38 % en 2022, et surtout quand on voit les performances négatives de nombreuses unités de compte en 2022.

    Malheureusement, malgré une performance 2022 qui devrait être plutôt bonne pour le fonds euros (entre 1,6 % et 1,8 %* en moyenne, et les meilleurs au-dessus de 2 %), celle-ci pourrait ne pas être suffisante pour attirer à nouveau les investisseurs, alors que le taux du livret A pourrait passer à 2,5 % ou 3 % au 1er février.

    Comment les assureurs peuvent-ils améliorer le rendement des fonds en euros pour ? Pour lisser les résultats et garantir le rendement, chaque assureur constitue une réserve d’argent. Etant donné le contexte actuel qui met en péril le fond en euros devenu moins rentable, les assureurs pourraient bien piocher dans leur réserve. Les provisions réalisées par les assureurs seraient alors le principal recours pour augmenter la performance du fonds en euros et ainsi concurrencer le livret A en 2023.

    Pour l’année à venir, les analystes s’attendent donc à une nouvelle hausse du rendement moyen des fonds en euros au-dessus de 2 %, et les meilleurs proches de 3 %.

    Et si placer en fonds euros au sein d’une assurance-vie n’offre pas un rendement mirobolant, les intérêts de ce placement sont ailleurs (pas de plafond et pas de risque de perte en capital) et font de celui-ci un atout de taille pour équilibrer avec des placements bien plus risqués. On rappelle en effet que l’assurance-vie permet d’investir sur une multitude de supports : des actions, des obligations mais également de l’immobilier (Pierre Papier). Des placements dynamiques, potentiellement plus rémunérateurs que le fonds euros, mais qui présentent aussi un risque de perte en capital.

    Le capital placé sur le fonds en euros par l’épargnant étant garanti, cela en fait un placement à privilégier en 2023 pour à la fois :

    • ne pas laisser dormir son épargne sur son compte courant qui peut être placée en fonds en euros sans plafond de versement (contrairement aux livrets d’épargne réglementée),
    • bénéficier d’un rendement qui, même si petit, ne vous expose pas à un risque de perte en capital.
    • sécuriser en cours d’année une partie des gains reçus sur les unités de compte (fonds actions, immobilier, etc.).
    • retirer des gains exonérés d’impôt sur le revenu selon l’ancienneté du contrat d’assurance-vie,
    • profiter de la disponibilité des fonds (notamment avec le rachat instantané, une option disponible uniquement avec notre contrat meilleurtaux Liberté Vie).
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    Les obligations

    Cela faisait plusieurs années maintenant que les investisseurs avaient totalement délaissé l’investissement en obligations. Dès lors que les taux sont passés négatifs, l’investissement en obligation n’offrait guère d’intérêt, et présentait même un risque assez élevé en cas de remontée des taux qui ferait chuter la valeur des obligations.

    C’est exactement ce qu’il s’est passé en 2022. Avec l’inflation, les banques centrales tentent de contenir la hausse des prix en augmentant les taux d’intérêt. Les taux d’emprunt des Etats et des entreprises se sont donc envolés, et le marché obligataire a connu un véritable krach.

    Dans ce contexte, on pourrait dire que 2022 est une année noire pour les obligations. Sauf que peu d’épargnants ont réellement été affectés par ce krach obligataire et surtout, la hausse des taux commence à ressembler à une bonne opportunité pour investir sur ce marché. Soit en achetant aujourd’hui des obligations dont le cours a fortement chuté. Soit en achetant des nouvelles obligations qui sont émises avec des coupons plus élevés.

    Que ce soit avec d’anciennes ou de nouvelles obligations, il est possible aujourd’hui d’acheter des obligations très sûres avec des rendements de 3%, quand des obligations un peu moins sûres offrent du 4, 5 ou même 6%.

    Le placement obligataire redevient donc attractif pour 2023. Mais il n’est pas sans risque. Il y a d’abord le risque de défaillance. Avec la fin de l’argent gratuit et le ralentissement économique, l’année 2023 risque d’être difficile pour beaucoup d’entreprises. L’autre risque est la poursuite de la hausse des taux. En 2022, les taux d’emprunt ont connu un redressement spectaculaire. Mais si ce mouvement se prolonge en 2023, et que les taux atteignent 4 ou 5%, alors la valeur des obligations va continuer à baisser.

    Pour limiter les risques, l’investisseur pourra s’intéresser aux fonds obligataires datés. Il s’agit de fonds pour lesquels le gérant investit le capital de départ sur un panier d’obligations à taux fixe, et conservera ses obligations jusqu’à l’échéance. Ainsi, quelle que soit l’évolution des taux, les épargnants sont certains d’encaisser les coupons et le remboursement à l’échéance, sauf faillite d’un ou plusieurs émetteurs.

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    Les actions

    Investir en actions est toujours autant plébiscité par les investisseurs désireux de réaliser de bons rendements à condition d’avoir une vision long terme. De 2020 à 2021, l’achat ou la vente d’actions chez les particuliers a augmenté de 19 % d’après une étude publiée par l’AMF.

    Malheureusement, 2022 fut une année terrible pour les actions. Le CAC 40 a connu une baisse de près de 10 %. Idem pour l’Eurostoxx 50 et le SBF 120. Le S&P 500 a, quant à lui, chuté de près de 20 %.

    Malgré un marché baissier, nous sommes encore bien loin d’un scénario catastrophe, et pour certains, l’investissement boursier a été profitable en 2022.

    La performance de notre portefeuille défensif, recommandé dans le cadre de notre abonnement meilleurtaux Bourse Privée, a atteint 4,6 % en 2022. Comparé au CAC all tradable (-7.69 %), notre portefeuille défensif a obtenu une surperformance de 12.30 %.

    Une autre manière d’investir en unités de compte, et gagnante, est de réaliser des versements programmés. Vous investissez régulièrement sans vous préoccuper des niveaux de marchés. Efficace pour atténuer les fluctuations boursières.

    La question est : quand est-ce que le marché boursier devrait-il rebondir ? Est-ce pour 2023 ? Est-ce que le marché va continuer à baisser ?

    Le scénario envisagé par Marc Fiorentino dans ses newsletters serait le suivant :

    • Une année blanche pour 2023 avec une croissance qui tournerait autour de zéro mais qui serait favorable pour les indices boursiers et pour les marchés obligataires du fait de la décélération de l’inflation.
    • L’année du « new normal », autrement dit l’année du retour à la normale ne surviendrait qu’en 2024. La croissance repartirait progressivement et le taux de chômage serait stable ou à la baisse.

    La Bourse n’est pas un long fleuve tranquille avec une hausse constante du cours des actions. Il faut s’attendre à de nombreux soubresauts marqués notamment par l’actualité (guerre en Ukraine, inflation…). Pour vous accompagner et accéder aux meilleures informations boursières, rejoignez meilleurtaux Bourse Privée.

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    Et pour ceux qui souhaitent investir en actions pour le long terme en privilégiant les versements programmés, avec Meilleurtaux Liberté Vie, vous pouvez réaliser des versements programmés en ligne, sans frais d’entrée ou d’arbitrage sur plus de 680 supports.

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    L’Epargne Retraite

    Afin de développer l’épargne retraite en France, un Plan d’Epargne Retraite (PER) a été lancé en 2019. Ce nouveau plan avait pour but de moderniser les vieux contrats d’Epargne retraite (Perco, PERP, madelin, etc.) qui ne rencontraient pas leur public (quelques dizaines de milliards versés chaque année, à peine).

    Le nouveau PER fut un net succès. Au 30 juin 2022, plus de 6 millions de personnes bénéficiaient déjà de ces PER et les encours constitués sur ces PER atteignaient presque 70 milliards d’euros (contre 50 milliards espérés pour fin 2022). Les investisseurs sont notamment attirés par l’avantage fiscal procuré par le PER : les versements dans cette enveloppe sont en effet déductibles de vos revenus imposables, dans certaines limites, et en contrepartie du blocage des sommes jusqu’à la retraite.

    A noter aussi qu’une large part de ces encours est le résultat de transferts d'anciens produits (Perco, Perp, etc.) vers les nouveaux PER. Le transfert de ces anciens contrats permet de bénéficier d’une gestion du support plus souple, d’une possibilité de sortie en capital (plutôt qu’en rente viagère) ainsi que davantage de cas de sorties anticipées (notamment pour l'achat d'une résidence principale).

    placement financier 2023

    Que penser du PER en 2023 ? Comme pour l’assurance-vie, tout dépend des supports en unités de compte choisis (fonds euros, ETF, actions, obligations, SCPI…). Les atouts du PER (une réduction d’impôt, plusieurs cas de déblocage anticipé des fonds, une diversification de son patrimoine…) restent, quant à eux, inchangés pour 2023. Et à l’heure où la pression fiscale reste toujours aussi importante en France, et que la réforme des retraites se fait de plus en plus pressante, le Plan d’Épargne Retraite permettant de réduire ses impôts en préparant sa retraite sera encore une fois une enveloppe à privilégier pour 2023.

    Pour ceux qui possèdent encore un ancien contrat, le transfert vers le nouveau PER vous permettrait de profiter d’un déblocage et d’une sortie (capital ou rente) des fonds plus flexibles.

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    Le private equity

    Le private equity (ou capital-investissement en français) consiste à prendre une participation dans une société non cotée en bourse, autrement dit, participer au financement de l’économie réelle.

    Connu pour surperformer la quasi-totalité des classes d’actifs, le private equity a démontré sa résilience quels que soient les cycles économiques et, est finalement très peu corrélé au marché actions. Selon l’association France Invest, à fin 2021, les performances annuelles sur 15 ans (2007-2021) s’élevaient à 12,2 % pour le private equity contre 5,1 % pour le CAC 40.

    Malgré tout, après une année record en 2021 comptabilisant un nombre de transactions élevé, le private equity a dû faire face aux nombreuses incertitudes de 2022.

    Toutefois, même en période de bouleversements, le private equity a sa place dans un objectif de diversification de son patrimoine. Le FCPR permet une diversification sectorielle, géographique et par taille d’entreprises. Ceci diminue le risque de perte en capital de cette classe d’actifs connue pour être plus risquée que de nombreuses autres. Reste à sélectionner le « bon » fonds, piloté par un spécialiste reconnu et délivrant des rendements à la hauteur de vos attentes.

    Finalement, ce que l’on peut retenir pour 2023 : le private equity est toujours moins volatil que la bourse et a donc de beaux jours devant lui. Toutefois, il n’en reste pas moins un placement risqué pour lequel l’avis d’un conseiller en gestion de patrimoine est de bon augure pour être averti autant des avantages que des risques.

    Un particulier peut investir directement dans le capital d’une entreprise ou bien alors, investir à travers un fonds spécialisé qui permet d’ouvrir cette classe d’actifs au grand public. C’est le cas des FCPR composés d’entreprises en croissance et qui cherchent une alternative au prêt bancaire. Chez meilleurtaux Placement, vous pouvez souscrire au fonds Eurazeo Private Value Europe 3, un support d’investissement dont l’objectif d’allocation est d’investir en private equity à hauteur de 40 % et investir en Dette Privée à hauteur de 60 %. Cette stratégie permet d’offrir aux investisseurs une grande diversité. Ce fonds est à souscrire pour un objectif long terme (8 ans minimum) et représente un risque de perte en capital. Sur un an, sa performance ressort à +6,71%*.

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    L’immobilier

    En 2022, le marché immobilier fut dynamique avec une forte croissance des prix dans l’ancien qui s’est élevée à 6,4 % sur un an au 3e trimestre 2022, mais tout de même séquencée en deux temps avec une plus forte hausse des prix début 2022 suivit d’un ralentissement de cette hausse en fin d’année.

    En 2022, de nombreuses contraintes ont marqué le marché de l’immobilier : les taux d’intérêt sur le crédit immobilier en hausse, la nouvelle réglementation encadrant le DPE et impactant la mise en location mais également le prix de vente…

    Le dynamisme du marché de l’immobilier suivra-t-il la même trajectoire en 2023 ? Un scénario plausible se profile. Il se traduirait par une baisse des prix de l’immobilier en conséquence du taux moyen des crédits qui pourrait dépasser 3 % en 2023, ce qui permettrait de contrer la baisse du pouvoir d’achat immobilier. A savoir, le taux d’usure, soit le taux d’intérêt maximal que les établissements de crédit sont autorisés à pratiquer, a été relevé à 3,57 % depuis le 1er janvier permettant de faciliter l’accès au crédit. Une hausse attendue au vu de la chute des prêts accordés obligeant les acquéreurs à revoir leur budget à la baisse.

    Mais compte tenu de l’étendue des difficultés propres à l’investissement locatif en direct (l’accès au crédit immobilier en fait partie), vous pourriez vous diriger vers une alternative pour contourner tous ses aléas.

    La pierre-papier tire de toute évidence son épingle du jeu en investissant principalement dans de l’immobilier d’entreprise lui permettant d’éviter les nombreuses réformes qui impactent l’immobilier résidentiel.

    Si pour les Français, investir dans la pierre est un placement sûr, il est d’autant plus simple de réaliser cet investissement en achetant les parts d’une société civile de placement immobilier (SCPI), un investissement plus souple qu’un investissement immobilier en direct. Un rendement attractif (entre 4 et 5%* net de frais). Une grande diversification. Pas de vacances locatives. Une mutualisation du risque. Une facilité de souscription. Peu de contraintes de gestion. Que de bons ingrédients qui font de la pierre-papier un placement sur lequel miser.

    Encore mieux, le fonds MeilleurImmo propose un panel plus diversifié pour construire une épargne autour du marché immobilier sous toutes ses formes, et incluant bien entendu des SCPI, mais également de l’immobilier physique, parmi ses supports de prédilection. Surtout, la SC MeilleurImmo est accessible dans l’assurance-vie sans frais d’entrée, ce qui permet d’associer à l’investissement immobilier toutes les qualités d’un placement financier : frais réduits, liquidité accrue et fiscalité douce.

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    * Performances nettes de frais de gestion mais hors fiscalité. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des entreprises non cotées présente un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas de performances futures. Les FCPR sont des placements long terme (6 ans à 10 ans minimum). Certains fonds n'offrent aucune liquidité avant leur terme (sauf cas prévu dans le règlement du fonds). Avant toute souscription nous vous recommandons de prendre connaissance des conditions générales et des notices d'informations mais aussi des recommandations et conseils présents sur le site. Ces placements sont par nature des placements à risque qui ne devraient pas représenter plus de 5 à 10 % de vos actifs. Les performances passées ne préjugent en rien des performances futures. La valeur liquidative des FCPR, à un instant T, peut ne pas refléter le potentiel des actifs en portefeuille sur la durée de vie du fonds.

    Les parts de SCI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :

    - La baisse de la valeur du placement. Le capital investi dans une SCI n’est pas garanti. La valeur de part d'une SCI évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier d'entreprise. Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.

    - La liquidité. La SCI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d'entreprise et du marché des parts de SCI.

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    Écrit par
    Rédaction meilleurtaux Placement