Les années 80, vous vous souvenez ? Les Rubik’s cubes, Mickael Jackson dans les Walkmen à cassettes, l’aérobic en justaucorps fluo… Une décennie qui inspire une certaine nostalgie, même chez ceux — c’est peut-être votre cas — qui ne l’ont pas connue « en vrai ».

    Mais les années 1980, on l’a un peu oublié, ce sont aussi des taux d’inflation à deux chiffres.

    Et malheureusement, ça revient aussi à la mode. Au mois de mars, la hausse des prix, sur un an, a atteint 4,5% en France et 7,5% dans la zone euro, du jamais vu… depuis les années 80 !

    Au quotidien, elle grignote notre pouvoir d’achat et affecte aussi notre épargne. Exemple avec l’emblématique Livret A : son taux (1% actuellement) est inférieur de 3,5 points à l’inflation. C’est ce que l’on appelle un « rendement réel négatif ». Et pour résumer, cela signifie que l’argent que vous y placez perd, lui aussi, chaque jour un peu de sa valeur.

    Comment faire pour éviter cela ? Commencez par conserver uniquement le strict nécessaire sur votre compte courant ou votre Livret A : disons l’équivalent de 4 à 6 mois de salaire, en cas de coup dur. Le reste ? Il faut lui trouver une meilleure destination. C’est loin d’être impossible, à condition d’être prêt à prendre quelques risques.

    Si ce n’est déjà fait, le premier réflexe est d’ouvrir une assurance-vie.

    Un vrai « couteau suisse », comme on le dit souvent : avec elle, vous allez pouvoir diversifier votre épargne, en la fléchant vers des supports moins sensibles à l’inflation. Lesquels ?

    Des fonds obligataires à court-terme, par exemple, indexés sur la hausse des prix, voire sont indexés sur l’inflation. Ou des fonds actions d’entreprises qui ont le “pricing power”, c’est-à-dire qui sont capables de répercuter la hausse du coût de la vie sur leurs produits et services : l’énergie, les matières premières, le luxe ou encore la banque.

    Le produit « M Ambition »

    Autre exemple d’opportunité à saisir, à condition d’être prêt à assumer une perte en capital et de ne pas être trop pressé de récupérer sa mise : les produits structurés, placements boursiers, donc risqués, mais dont l’objectif est d’offrir un rendement attractif, même en cas de baisse des marchés (jusqu’à une certaine limite).

    Notre spécialiste Meilleurtaux Placement propose actuellement « M Ambition », un produit qui affiche une promesse de rendement de 10% par an, sur un horizon de placement de 12 ans.

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    L’investissement dans la « pierre-papier »

    Enfin, quand les temps sont durs, il y a une valeur sûre : l’immobilier, dont les prix avaient explosé au moment des pics d’inflation des années 80 (on y revient).

    Là encore, votre assurance-vie - qui, il faut le rappeler, n’est pas bloquée pendant 8 ans, comme on le pense parfois - peut vous servir à investir, par l’intermédiaire de la « pierre-papier ».

    En clair, vous achetez des parts d’une société d’un genre un peu particulier (une SCPI) qui investit dans des bureaux, des locaux commerciaux, etc., puis vous rémunère grâce aux loyers perçus chaque mois.

    Un placement qui a, en plus, l’avantage de pouvoir être financé à crédit. Cela tombe bien : les conditions d’emprunt restent excellentes, même si ça ne devrait malheureusement pas durer.

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    Écrit par
    Rédaction meilleurtaux Placement

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