Un homme heureux se heurtant à un agent immobilier alors qu’il était en réunion avec sa femme au bureau.

    Bien que le coronavirus a fait des ravages sur son passage, les sociétés de placement immobilier restent en accrochage. La preuve : leur nombre ne cesse d’augmenter et beaucoup plus de consommateurs en sont séduits. Récemment, la volonté de ces enseignes à dominer le marché européen reste encore un sujet très alimenté dans les portails d’information financiers. Étonnement, la pandémie a été un facteur de son essor.

    Les effets néfastes du coronavirus dans le vieux continent n’ont pas trop pesé sur les sociétés de placement immobilier. En effet, les SCPI européennes se cramponnent malgré la situation sanitaire depuis le début de l’année dernière. À en croire les circonstances, la pandémie a même accéléré la souscription des consommateurs à cette offre innovante à bon prix.

    Les géants du portefeuille européens adaptent parfaitement leur produit aux vagues successives de l’épidémie et aussi aux besoins des consommateurs. Les avantages reliés aux locations de logement dans les parcs intéressent forcement les clients. Il s’agit pour les enseignes d’un investissement stratégique qui est source de création de valeurs à long terme.

    Les sociétés de placement spécialisées mènent la cadence

    Sur le tableau d’affichage, les SCPI œuvrant dans la logistique et dans le résidentiel assurent la place de leader avec un taux de distribution de valeur dépassant les 6% sur le marché. Juste après ces dernières se trouvent les sociétés de placement relatives aux domaines diversifiées, à l’instar de la santé, pour un TDVM de 4,55%.

    En ce qui concerne la menace du travail en ligne, un cofondateur d’une Société Civile de Placement Immobilier rend confiance que les sociétés de placement exerçant dans les bureaux restent aussi dans la course et ne sont pas prêtes à baisser les bras. Les statistiques montrent un profit de 4% dans ce secteur. Cet employé de la société de gestion ajoute que :

    Les SCPI de bureaux et de commerces rassurent une nouvelle fois face au tout-digital et tout-à-distance engendré par le Covid-19.

    Statistiques encourageantes

    Les secteurs parmi les plus touchés par la pandémie s’agissent bien évidemment de l’hôtellerie et du commerce. Pourtant, les SCPI spécialisées dans ces derniers affichent encore un profit moyen d’1,53% à l’issue de la deuxième moitié de cette année.

    En général, les bénéfices font état d’1,95 milliards d’euros et ont connu une hausse de 16% en comparaison avec les trois premiers mois de 2021, rapporte l’association française des sociétés de placements immobilier (ASPIM). Selon toujours cette entité, cette performance constitue une création de valeur à la hauteur de 126% par rapport au deuxième trimestre de l’année dernière.

    La pandémie de coronavirus a quand même fait craindre les bilans. D’après l’ASPIM, la réalisation est moindre que celle durant le deuxième trimestre de 2019, période pré-covid où les statistiques ont montré un rendement de plus de 12%. Les contributeurs majeurs sont notamment les SCPI spécialisées dans les bureaux avec 53% et celles diversifiées avec 16% de profits.

    Quoi qu’il en soit, tout type de sociétés de placement n’a encore, jusqu’ici déçu les investisseurs. L’augmentation de nombres des SCPI est justifiée par ses valeurs créées. Sur cette lancée, les sociétés de gestion de portefeuille resteront en bon terme vis-à-vis de ses consommateurs.

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    Rédaction meilleurtaux Placement

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