Juin 2025

    Les solutions les plus intéressantes pour bien épargner cette année

    Mettre de l’argent de côté, et le faire fructifier, en vue de la retraite ou pour une épargne de précaution constitue une priorité pour de nombreux Français depuis plusieurs décennies. Ils peuvent d’ailleurs désormais choisir divers produits financiers pour faire un bon placement ou investir. La sélection dépendra toutefois essentiellement de leurs budgets et de leurs objectifs.

    Anticiper l’épargne, une dynamique essentielle pour bâtir un patrimoine pérenne

    S’engager dans une démarche d’épargne dès les premières années de vie active constitue un choix structurant pour son avenir financier. En capitalisant sur le facteur temps, les jeunes épargnants peuvent bénéficier d’un puissant effet multiplicateur. Mais au-delà de l’intuition, cette stratégie repose sur des mécanismes financiers précis, des habitudes disciplinées et le recours à des produits adaptés, permettant une croissance maîtrisée et optimisée du capital sur le long terme.

    Transmettre à ses enfants sans se ruiner en impôts : mode d’emploi 

    Transmettre une partie de son patrimoine à ses enfants est un souhait naturel pour de nombreux parents. Cependant, la crainte de la fiscalité qui accompagne ces donations peut souvent freiner cette démarche. Heureusement, il existe plusieurs solutions parfaitement légales permettant de transmettre en toute liberté fiscale. Encore faut-il les connaître… et surtout, les anticiper. En matière de transmission, le temps est un allié précieux : plus la démarche est préparée en amont, plus elle permet de profiter des nombreux abattements et dispositifs existants. Anticiper, c’est souvent transmettre plus, tout en conservant une parfaite maîtrise de son patrimoine.

    Les abattements légaux : jusqu'à 100 000 € tous les 15 ans, par parent et par enfant

    L'administration fiscale offre la possibilité à chaque parent de donner jusqu'à 100 000 € par enfant sans être soumis aux droits de donation. Cet abattement est renouvelable tous les 15 ans, ce qui permet de planifier des transmissions régulières sans impôts. Par exemple, un couple peut transmettre 200 000 € à chacun de ses enfants tous les 15 ans, sans fiscalité. Cela représente une opportunité considérable pour ceux qui souhaitent transmettre leur patrimoine de manière planifiée.

    Le don de sommes d’argent : un bonus fiscal de 31 865 €

    En complément des 100 000 €, il est possible de donner jusqu'à 31 865 € en numéraire (argent, chèque ou virement) par parent et par enfant, à condition que :

    • le donateur ait moins de 80 ans,
    • le donataire (l'enfant) soit majeur.

    Ce don s'ajoute aux 100 000 € d'abattement classique. Ainsi, un parent peut transmettre jusqu'à 131 865 € à un enfant sans fiscalité, tous les 15 ans. Cette stratégie permet de maximiser les montants transmis sans impôts, tout en respectant des conditions simples.

    NOUVEAU : Jusqu’à 100 000 € pour aider à acheter ou rénover une résidence principale

    Depuis le 15 février 2025, un nouveau dispositif permet de transmettre jusqu'à 100 000 € par donateur à un même donataire, exonérés d'impôts, sous réserve que les fonds soient utilisés dans un délai de 6 mois pour :

    • l'acquisition d'un logement neuf ou en VEFA, destiné à devenir la résidence principale du donataire (ou à la location à usage d'habitation principale),
    • ou pour effectuer des travaux de rénovation énergétique éligibles à MaPrimeRénov’ dans la résidence principale du donataire.

    Le plafond est fixé à 300 000 € par donataire au total, ce qui permet de réaliser des projets immobiliers ambitieux sans impôts.

    Conditions à connaître :

    • Aucun âge minimum ou maximum n'est exigé pour le donateur ou le donataire.
    • L'usage du logement doit être maintenu pendant au moins 5 ans, en résidence principale ou en location (hors membres du foyer fiscal).
    • Pas de cumul possible, pour une même dépense, avec d'autres avantages fiscaux (Prime Rénov’, emploi à domicile, déficit foncier...).

    Exemple : vous donnez 100 000 € à votre fille pour l'achat de son premier appartement neuf. Si elle y habite pendant 5 ans, aucun droit de donation n'est dû, même si vous avez déjà utilisé les abattements classiques. Ce dispositif est une excellente opportunité pour soutenir vos proches dans leurs projets immobiliers tout en optimisant la fiscalité.

    Rappel

    N’oubliez pas de déclarer vos donations, même exonérées !

    Même si vous ne payez aucun impôt, les dons de sommes d’argent (jusqu’à 100 000 € ou 31 865 €) doivent obligatoirement être déclarés à l’administration fiscale.

    Pourquoi c’est important ?

    • Pour faire courir le délai de 15 ans entre deux donations (et profiter à nouveau des abattements),
    • Pour sécuriser la transmission en cas de contrôle fiscal,
    • Pour que les dons soient pris en compte dans la succession future.

    Comment déclarer une donation ?

    Type de donFormulaireMode de déclarationDélai
    Don manuel (chèque, virement…) Formulaire n°2735 À envoyer au service des impôts du donataire ou En ligne sur impots.gouv.fr Dans le mois qui suit le don
    Donation notariée Acte établi par notaire Le notaire s’occupe de tout

    Pensez à indiquer le type d’abattement utilisé :

    • Abattement légal de 100 000 € - article 757 du CGI
    • Don familial de 31 865 € - article 790 G du CGI
    • Nouveau dispositif résidence principale (100 000 € - art. 790 A bis du CGI)

    declaration donation

    Les présents d’usage : de petits cadeaux exonérés

    Il est également possible d'offrir des cadeaux à l'occasion d'un événement familial (anniversaire, mariage, Noël, réussite à un examen…). Ces cadeaux, appelés présents d’usage, ne sont pas taxés s'ils sont proportionnés à la fortune du donateur. Exemple : un chèque de 2 000 € pour fêter les 18 ans de votre enfant peut tout à fait être considéré comme un présent d’usage si vous disposez d’un patrimoine confortable. Cela permet de marquer des occasions spéciales sans se soucier de la fiscalité.

    L’assurance-vie : transmettre jusqu’à 152 500 € (et 30 500 € après 70 ans)

    L'assurance-vie est l’outil phare de la transmission patrimoniale. Elle permet à chaque souscripteur de transmettre jusqu'à 152 500 € par bénéficiaire, hors succession, pour les primes versées avant 70 ans. Ainsi, un couple peut transmettre 305 000 € à chacun de ses enfants sans fiscalité, ce qui en fait une solution très avantageuse pour la transmission des biens. Au-delà de ce montant, un taux forfaitaire de 20 % s'applique jusqu'à 852 500 €, puis 31,25 % au-delà, ce qui reste compétitif par rapport à d'autres formes de transmission.

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    Et après 70 ans ?

    Les sommes versées après 70 ans bénéficient quant à elles d’un abattement global de 30 500 €, tous bénéficiaires confondus. Mais bonne nouvelle : les intérêts générés sont totalement exonérés de droits de succession. Ainsi si vous versez 30 000 € à 75 ans sur une assurance-vie. Au décès, le bénéficiaire récupère 50 000 € (avec les gains). Seuls les 30 000 € sont concernés par l’abattement de 30 500 €. Les 20 000 € d’intérêts sont non imposables (seuls les prélèvements sociaux sont dus).

    Le démembrement de propriété : transmettre sans se déposséder

    Le démembrement de propriété est une stratégie efficace pour transmettre un bien tout en en conservant l’usage. Il consiste à donner la nue-propriété d’un actif — qu’il s’agisse d’un bien immobilier ou d’un contrat de capitalisation — tout en conservant l’usufruit, c’est-à-dire le droit de l’utiliser ou d’en percevoir les revenus. Cette solution présente un avantage majeur : seule la nue-propriété est soumise aux droits de donation, sur la base d’une valeur réduite qui dépend de l’âge du donateur. Au décès, la pleine propriété revient automatiquement au donataire, sans imposition supplémentaire.

    Âge de l’usufruitierValeur de la nue-propriété
    Moins de :  
    51 ans révolus 40%
    61 ans révolus 50%
    71 ans révolus 60%
    81 ans révolus 70%
    91 ans révolus 80%
    Plus de 91 ans révolus 90%

    Trois exemples concrets :

    • Un contrat de capitalisation : vous donnez la nue-propriété à vos enfants, tout en conservant l’usufruit. Vous continuez ainsi à gérer le contrat et à percevoir les revenus générés. La valeur taxable au moment de la donation est réduite et dépend de votre âge (par exemple, l’assiette taxable sera de 60% si le donateur usufruit a moins de 71 ans).
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    • Un bien immobilier : vous transmettez la nue-propriété d’un logement, tout en gardant le droit d’y habiter ou d’en percevoir les loyers. Cette méthode permet de préparer la succession en douceur, sans renoncer à l’usage du bien, ce qui est idéal pour préserver son cadre de vie tout en anticipant la transmission.
    • Des parts de SCPI : il est également possible de démembrer des parts de SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier). Vous donnez la nue-propriété des parts à vos enfants, tout en conservant l’usufruit, c’est-à-dire les revenus locatifs réguliers.

    Les groupements forestiers : transmettre avec un avantage fiscal

    Les parts de Groupement Forestier d’Investissement (GFI) permettent :

    • De diversifier son patrimoine sur un actif tangible “la forêt” ayant une valeur durable
    • De soutenir la gestion et la conservation de ces ressources naturelles
    • Et de profiter d’un abattement de 75 % sur la valeur des parts (sous conditions) que ce soit en cas de donation et au décès.

    Nous proposons d’ailleurs le GFI France Valley Patrimoine éligible à ce dispositif fiscal avantageux : Abattement de 75% sur les droits de mutation à titre gratuit lors de donations ou de successions, sans plafonnement ni contrainte de lignée ou de conservation des parts, mais avec un engagement d’exploitation durable sur 30 ans pris par le Groupement Forestier. L’abattement de 75% ne s’applique que sur la quote-part effectivement investie en forêt (qui n’est pas garantie).

    En résumé

    SolutionMontant exonéréFréquenceConditions
    Abattement légal (art. 757 CGI) 100 000 € par enfant et par parent Tous les 15 ans Aucune condition d’âge
    Don familial de sommes d’argent (790 G CGI) 31 865 € Tous les 15 ans Donateur < 80 ans, donataire majeur
    Don pour résidence principale (790 A CGI) 100 000 € par donateur (300 000 € par donataire) Jusqu’au 31/12/2026 Affectation dans les 6 mois, usage ou location 5 ans
    Assurance-vie < 70 ans (990 I CGI) 152 500 € par bénéficiaire À tout moment Primes versées avant 70 ans
    Assurance-vie > 70 ans (757 B CGI) 30 500 € global + intérêts exonérés À tout moment Tous bénéficiaires confondus
    Présents d’usage Libre (si proportionné au patrimoine) À chaque événement Occasion familiale, proportion raisonnable
    Démembrement de propriété (990 I CGI) Fiscalité réduite selon l’âge de l’usufruitier Unique Conservation de l’usufruit par le donateur
    Groupement forestier (GFI) (793 CGI) Abattement de 75 % sur la valeur des parts En donation ou succession Conservation pendant 30 ans

    La fiscalité ne doit pas freiner votre envie de transmettre : bien accompagnée, votre stratégie peut permettre des transmissions significatives sans impôt. Et surtout, n’attendez pas : plus la transmission est anticipée, plus les outils disponibles sont efficaces.

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    Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :

    - La baisse de la valeur du placement. Le capital investi dans une SCPI n’est pas garanti. La valeur de part d'une SCPI évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier d'entreprise. Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.

    - La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI.

    - La liquidité. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d'entreprise et du marché des parts de SCPI.

    Les GFI sont des placements qui varient à la hausse ou à la baisse en fonction des variations du marché des forêts et du bois. Les parts doivent être acquises dans une optique de long terme. Le GFI ne bénéficie d’aucune garantie ou protection du capital investi et du taux de distribution de dividendes. Ces placements présentent un risque de perte en capital. La Société de Gestion ne garantit pas les conditions de revente des parts. Compte tenu de la durée de blocage et du risque de perte en capital, il est conseillé aux souscripteurs d'y consacrer un montant limité de leurs actifs (dans la limite de 5 à 10 % maximum selon les professionnels).

    Le taux directeur de la BCE est passé à 2 % le 5 juin 2025

    Le 5 juin dernier, le taux directeur de la BCE est passé à 2 %, soit 0,25 point de moins comparé à son niveau précédent. Il va sans dire que ce recul aura un impact direct sur les rendements des épargnes des Français : pour certains, il s’agit d’une mauvaise nouvelle, mais pour d’autres, c’est une véritable aubaine.

    Épargne : l’assurance vie et les livrets réglementés ont toujours la cote en France

    Selon le dernier baromètre de l’épargne en France et dans les régions publié par l’IFOP, 75 % des personnes ayant participé à l’enquête choisissent de placer leur argent sur leurs livrets réglementés en 2025. Environ un quart (24 %) d’entre elles préfèrent déposer leurs économies dans un contrat d’assurance vie ou de capitalisation.

    Ministres millionnaires : leurs placements sous la loupe

    Ce 10 juin, la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP) a une nouvelle fois publié les déclarations de patrimoine des membres du gouvernement Bayrou. Avec 22 ministres millionnaires, dont les fortunes de Marc Ferracci (près de 23 M€) et Éric Lombard (près de 21 M€) en tête, la curiosité est légitime : comment ces figures de l'État font-elles fructifier leur patrimoine ?

    Des ministres millionnaires

    Parmi les 36 membres du gouvernement, 22 sont millionnaires. La plus grosse fortune du gouvernement Bayrou est Marc Ferracci, ministre de l’Industrie et de l’Énergie, avec près de 23 millions de patrimoine net et qui s’explique par la détention de part de l’entreprise Icare Finance, une entreprise d’audit et de conseil créée par son père.

    Après lui, c’est Eric Lombard, ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, qui occupe la deuxième place avec près de 21,7 millions d’euros de patrimoine dont 8 millions proviennent de ces 4 biens immobiliers. Il détient également plus de 99 % du capital social d’une société de conseil, Halmahera, pour une valeur de 6 862 731 €.

    Derrière Eric Lombard, la ministre de la Culture Rachida Dati a déclaré un patrimoine de 6 millions d’euros. La ministre de la Culture détient plus de 5 millions d’euros dans des instruments financiers et assurances-vie, dont 2,8 millions d'euros sur son seul compte-titres et 2,3 millions d’euros dans ses assurances-vie.

    Les placements des ministres : des choix qui interrogent

    Comment ces figures de l'État font-elles fructifier (ou non) leur patrimoine ? Leurs décisions en matière de placements invitent à la réflexion.

    Quand les frais en assurance-vie rognent le capital

    Parmi ceux qui placent des sommes conséquentes en assurance-vie, on peut citer Rachida Dati, Jean-Noël Barrot, Eric Lombard, Clara Chappaz, Véronique Louwagie et Astrid Panosyan-Bouvet, lesquels possèdent tous plus d’un million d’euros dans des assurances-vie ouvertes dans des banques traditionnelles.

    Malheureusement, les frais de la plupart des assurances-vie des banques traditionnelles sont plus élevés que les contrats en ligne ce qui affecte le rendement réel. Et plus on place des sommes importantes, plus les frais impacteront le capital final.

    Prenons un exemple avec un capital initial important et une période d'épargne longue pour illustrer cette érosion significative. Imaginons une période d’investissement de 30 ans, avec un capital de départ de 100 000 € et une performance annuelle de 5 %. La perte potentielle due aux frais s'en trouverait considérablement amplifiée :

    • Avec le contrat chargé en frais (3 % de frais d’entrée et 1 % de frais de gestion), le capital obtenu au bout de 30 ans serait de 314 610 €.
    • Avec le contrat sans frais d’entrée et avec 0,5 % de frais de gestion par an, le capital obtenu au bout de 30 ans serait de 374 532 €, soit une différence de 59 922 €.

    À l’échelle des sommes conséquentes investies par les ministres, cela est d’autant plus significatif. Prenons l’exemple des assurances-vie de Jean-Noël Barrot avec la même performance annuelle (5 %). Le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères détient trois assurances-vie dans des banques traditionnelles avec un capital total de 1 730 000 €.

    En comparant une assurance-vie chargée en frais (3 % de frais sur versement et 1 % de frais de gestion) et une autre avec des frais plus faibles (0 % de frais d’entrée et 1% de frais de gestion), voici le manque à gagner sur 10 et 30 ans :

    • Au bout de 10 ans, cela représente un manque à gagner de 199 125 €.
    • Au bout de 30 ans, c’est plus d’un million d’euros en moins avec l’assurance-vie chargée en frais, 1 018 678 € précisément.

    Il est ainsi crucial de comparer attentivement tous les frais avant d'ouvrir une assurance-vie. Au-delà des frais d'entrée et de gestion, d'autres coûts peuvent aussi réduire significativement votre capital à terme. Pour optimiser la performance de votre contrat, le choix d'un assureur en ligne devient pertinent.

    L'assurance-vie Meilleurtaux Liberté Vie se positionne comme une solution de choix :

    • 0 % de frais d'entrée
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    Investir en unités de compte présente un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

    Des sommes importantes en compte courant

    Certains ministres possèdent des dizaines de milliers à quelques centaines de milliers d’euros en compte courant. C’est le cas d’Agnès Pannier-Runacher, la ministre de la transition écologique, de la biodiversité, de la forêt, de la mer et de la pêche, mais aussi de Rachida Dati, la ministre de la Culture, qui sont les plus mauvaises élèves. Agnès Pannier-Runacher accumule un montant proche de 500 000 € sur ses comptes courants. Cette somme importante pourrait pourtant être investie dans des placements à capital garanti, offrant une sécurité totale pour son épargne, si elle le souhaitait, tout en étant rémunérateur. La ministre est loin d’être une exception. Ses homologues conservent eux aussi des sommes importantes sur leurs comptes courants, bien que moins élevés. Mais les ministres ne sont pas les seuls à être de mauvais élèves.

    Les Français sont nombreux à laisser dormir leur argent sur leur compte courant. Selon la Banque de France, les dépôts à vue des Français atteignaient 549 milliards d’euros en fin d’année 2024. Ainsi, les Français manquent l’occasion de placer leur argent pour le faire fructifier, mais voient également leur pouvoir d’achat grignoté par l’inflation.

    Pour mieux comprendre le manque à gagner, voici ce qui arrive à l'argent laissé sur un compte courant face à l'inflation :

    Pour 10 000 € laissés sur un compte courant ces trois dernières années et avec une inflation de +5,2 % en 2022, +4,9 % en 2023 et +2,0 % en 2024, vos 10 000 € se seraient dépréciés ne valant plus que 8 835 € en termes de pouvoir d’achat.

    Autre exemple, si les 300 000 € de la ministre de la Culture étaient restés sur son compte courant ces trois dernières années, elle aurait subi une perte de pouvoir d'achat de 34 945 €.

    La perte est encore plus flagrante si on compare avec la même somme placée sur un livret d'épargne, même peu rémunéré comme le livret Meilleurtaux à 2 %, qui est un placement 100% liquide et facilement accessible.

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    Certes, posséder une épargne facilement disponible (notamment sur un livret) pour faire face aux imprévus est nécessaire. Mais l’objectif est d'avoir un matelas de sécurité, l’équivalent de 3 à 6 mois de dépenses courantes, pas de stocker l'intégralité de son capital. Au-delà de cette somme dédiée aux urgences, l'argent peut être placé sur des supports plus rémunérateurs. Durant ces 3 dernières années, les placements à capital garanti ont d’ailleurs connu un réel regain d’intérêt du fait de la hausse des taux. Comptes à terme, livrets d’épargne réglementée, livrets bancaires, fonds en euros boostés… les épargnants avaient donc l’embarras du choix pour placer sans risque. Si certains placements à capital garanti sont désormais moins intéressants, ce n’est pas le cas du support à capital garanti par excellence de l’assurance-vie, le fonds en euros. Certains assureurs proposent encore des offres pour booster le rendement de leur fonds en euros. Pour les meilleurs, il est possible de viser un objectif de rendement supérieur à 4 % net de frais de gestion. Un tel rendement permettrait non seulement de protéger l'épargne de l'inflation – qui, en mai 2025, s'établissait à 0,7 % sur un an – mais aussi de la faire fructifier réellement tout en gardant une liquidité certes plus faible qu'un livret (entre 24h et 2 semaines) mais loin du mythe d'une épargne bloqué 8 ans.

    Je découvre les fonds en euros boostés

    Des portefeuilles immobiliers très contrastés

    L’immobilier représente la pierre angulaire de la majorité des patrimoines de nos ministres. Cependant, une analyse plus fine révèle de grosses disparités : pour certains ministres, comme Éric Lombard qui déclare plus de 8 millions d'euros de biens immobiliers, l'immobilier constitue une part colossale de leur patrimoine, tandis que pour d'autres, il occupe une place plus secondaire. Historiquement, l'immobilier est perçu comme un investissement à fort potentiel, notamment grâce à l'effet de levier du crédit qui permet de construire un patrimoine significatif avec un apport initial moindre. C'est d'ailleurs ce qui fait de l’immobilier, un placement privilégié par de nombreux Français malgré sa faible liquidité. Cependant, investir dans l’immobilier physique n'est pas sans son lot de contraintes. La recherche de locataires, la gestion administrative, les travaux, ou encore le suivi des impayés sont autant de tâches chronophages et parfois complexes. Pour pallier ces inconvénients, les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) s'imposent comme une alternative de choix. Elles permettent d'investir indirectement dans l'immobilier (bureaux, commerces, entrepôts, santé, etc.) sans les soucis de gestion. L'investisseur achète des parts de SCPI et perçoit des revenus locatifs proportionnels à ses parts, sans avoir à se préoccuper de trouver des locataires, de gérer les travaux ou les aspects administratifs.
    C’est la société de gestion qui s’occupe de tout ! Ainsi, c'est une solution qui offre les avantages de l'immobilier… sans les contraintes.

    Je découvre le palmarès 2025 des SCPI de Meilleurtaux Placement

    L'analyse des patrimoines de nos ministres révèle des situations très diverses. Si une grande partie de nos ministres affiche des fortunes solides, il apparaît que même à ce niveau, des optimisations restent possibles. Certains gagneraient à se faire accompagner par des professionnels en gestion de patrimoine, à l'image des experts de Meilleurtaux Placement. Un tel accompagnement permettrait d'investir dans une allocation conforme à leur profil de risque, tout en évitant les erreurs fréquentes. Qu'il s'agisse de laisser des sommes trop importantes dormir sur des comptes courants, de souscrire à des produits chargés en frais, ou de se surexposer inutilement à certaines classes d'actifs, ces écueils peuvent être évités. Car, qu'on soit ministre ou non, l'objectif reste le même : faire fructifier son épargne de manière optimale et sécurisée.

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    Investir en unités de compte présente un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

     

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    Meilleurtaux Liberté Vie est un contrat individuel d’assurance vie de type multisupports distribué par Meilleurtaux Placement et assuré par Spirica - S.A. au capital de 256 359 096 €. Entreprise régie par le Code des Assurances - n° 487 739 963 RCS Paris - 16/18 boulevard de Vaugirard – 75015 PARIS - Société d’assurance agréée et immatriculée auprès de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) sous le numéro 1021306, autorité de contrôle située 4 Place de Budapest, CS 92459 – 75436 PARIS CEDEX 09. Les garanties de ce contrat peuvent être exprimées en Unités de Compte, en parts de provisions de diversification et en euros. Pour la part investie en Unités de Compte et en parts de provisions de diversification, les montants investis ne sont pas garantis et sont sujets à des fluctuations à la hausse ou à la baisse dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers. Les caractéristiques principales du contrat Meilleurtaux Liberté Vie et de ses différentes options d’investissement sont exposées dans le Document d’Informations Clé et les Documents d’Informations Spécifiques disponibles sur placement.meilleurtaux.com ou sur le site de l’Assureur https://www.spirica.fr.

    Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :

    - La baisse de la valeur du placement. Le capital investi dans une SCPI n’est pas garanti. La valeur de part d'une SCPI évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier d'entreprise. Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.

    - La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI.

    - La liquidité. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d'entreprise et du marché des parts de SCPI.

    Placements financiers en 2025, l’impératif de la diversification

    En 2025, dans un contexte de baisse continue des taux directeurs et de volatilité persistante sur les marchés, les épargnants sont confrontés à la nécessité de repenser soigneusement leurs orientations financières. Entre le recul du rendement des placements garantis, la relance de l’assurance vie, l’attrait renouvelé pour l’épargne retraite ou l’émergence de solutions alternatives, les options se multiplient. Encore faut-il les aborder avec discernement, en adoptant une stratégie diversifiée et adaptée aux objectifs de chacun.

    Fonds infrastructures, les opportunités et risques pour les investisseurs particuliers

    Les placements en infrastructures, longtemps réservés aux professionnels, font désormais leur entrée dans les contrats d’assurance-vie et les plans d’épargne retraite (PER) accessibles aux particuliers. Derrière des promesses de rendements attrayants, ces fonds soulèvent aussi des interrogations sur leur fonctionnement, leurs risques et leur lisibilité.

    Les Français sont-ils de mauvais épargnants ?

    Selon de récentes études sur le comportement d'épargne en France, une forte propension à la prudence se dégage, soulevant la question de savoir si cela fait des Français de "mauvais épargnants". Il apparaît que la préférence pour les placements à capital garanti, tels que les livrets d'épargne réglementée, est une caractéristique majeure de l'épargne française.

    Le taux d’épargne des Français

    À 18,01 % au quatrième trimestre 2024, le taux d’épargne moyen des Français demeure particulièrement élevé, faisant de la France l'un des pays les plus épargnants de la zone euro, juste après l'Allemagne (20,2 %). Cette tendance actuelle marque un rebond après une progressive décrue depuis le pic historique de 26,1 % atteint au deuxième trimestre 2020. Ce sommet était directement lié à la chute drastique de la consommation durant les confinements, période durant laquelle les ménages ont constitué une épargne forcée.

    taux epargne pays

    Source : Banque de France

    4,60 % en 2025 et 2026 avec le fonds en euros Netissima

    La prédominance des placements sécurisés

    Les Français ont une nette préférence pour les placements à capital garanti. Le baromètre Ipsos indique que 75 % des Français considèrent l'épargne comme un moyen de faire face aux imprévus, et 61 % comme une façon de financer des projets à court ou moyen terme. Ces objectifs renforcent la logique d'une épargne liquide et sécurisée. Le Livret A et le Livret de Développement Durable et Solidaire (LDDS) restent des piliers de l'épargne française, appréciés pour leur disponibilité et leur absence de risque de perte en capital.

    En revanche, l’épargne réglementée montre des signes mitigés. Si l'encours global des Livrets A et LDDS atteint un niveau impressionnant de 606,7 milliards d'euros, la collecte sur ces produits a été décevante au début du deuxième trimestre 2025. En effet, en avril 2025, le Livret A a enregistré une décollecte de 200 millions d'euros, son pire mois d'avril depuis 2009, principalement en raison de la baisse de son taux de rémunération à 2,4 % au 1er février. Une nouvelle baisse devrait être annoncée au 1er août 2025 avec un taux avoisinant 1,7 %.

    Le baromètre AMF de l'épargne et de l'investissement 2024 confirme cette tendance : les livrets sont encore le produit d'épargne le plus utilisé par les Français.

    taux epargne pays

    Source : Baromètre de l’AMF de 2024

    Cette domination des placements sécurisés se manifeste également dans les intentions d'investissement à court terme, puisque 40 % des épargnants envisagent un placement garanti au cours des 12 prochains mois.

    4,60 % en 2025 et 2026 avec le fonds en euros Netissima

    Les raisons d'une prudence bien ancrée

    Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette aversion au risque et cette préférence pour l'épargne sécurisée :

    • L'incertitude : Dans un contexte marqué par les crises successives (sanitaires, économiques, géopolitiques), les Français cherchent avant tout à protéger leur capital. Le baromètre Ipsos révèle que 40 % des Français se disent préoccupés par l'évolution de leur pouvoir d'achat, une crainte qui incite à la prudence en matière d'épargne. Le Baromètre AMF corrobore cette prudence, soulignant une réticence persistante à l'égard de la Bourse dans un contexte difficile à appréhender.
    • La culture de la "provision" : L'épargne est perçue avant tout comme une réserve pour faire face aux coups durs ou pour réaliser des projets de vie importants (achat immobilier, études des enfants, etc.). Cette vision pragmatique privilégie la disponibilité et la sécurité du capital.
    • Le manque de connaissance des produits financiers et la méfiance : Le Baromètre AMF apporte un éclairage intéressant sur la connaissance et la confiance. 15 % déclarent avoir déjà été victimes d'une escroquerie sur un placement financier. Cette vulnérabilité aux escroqueries et une connaissance potentiellement limitée des mécanismes financiers complexes peuvent renforcer la méfiance envers les placements moins conventionnels et plus risqués. De plus, 32 % des épargnants prennent leurs décisions après avoir pris les conseils de proches (famille, amis, ou collègues qui ne travaillent pas dans le secteur financier), ce qui peut perpétuer des choix d'épargne conservateurs.
    • La fiscalité de l'épargne : Les livrets réglementés ne sont pas soumis à l’impôt (exonération d'impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux), ce qui les rend d'autant plus attractifs pour les épargnants prudents qui n’ont ainsi ni mauvaise surprise, ni formalités déclaratives.

    La prudence des Français en matière d'épargne est une réalité mais ils ne sont pas pour autant « mauvais » en épargne. Ils se distinguent même par un taux d'épargne parmi les meilleurs en Europe. Cette propension à épargner s'accompagne cependant d'une certaine réserve vis-à-vis des placements plus risqués, souvent due à une moins bonne familiarité avec la complexité des produits financiers et l'étendue des solutions d'épargne disponibles.

    Afin d'optimiser votre épargne et d'explorer des solutions potentiellement plus performantes que les livrets réglementés, il est recommandé de solliciter l'avis d'un expert. Un conseiller Meilleurtaux Placement saura, selon votre profil d'aversion au risque, vous orienter vers des placements adaptés. Pour les épargnants les plus prudents, un conseiller pourra vous proposer des solutions à capital garanti offrant une meilleure rémunération que l'épargne réglementée.

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    Le fonds en euros pour booster votre épargne sans risque

    Dans ce contexte, où l'épargne réglementée connaît une baisse de son attractivité avec des taux de rémunération en diminution (le Livret A ayant baissé à 2,4 % au 1er février 2025, avec une nouvelle baisse prévue autour de 1,7 % au 1er août 2025), il devient pertinent d'explorer des solutions plus performantes. Les fonds en euros boostés représentent une opportunité intéressante. Ils offrent la garantie du capital tout en proposant des rendements potentiellement supérieurs à ceux des livrets réglementés.

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    Du 1er juin au 31 juillet 2025 seulement, vous pouvez désormais obtenir une bonification de 1,60 % net de frais de gestion ⁽¹⁾ sur le rendement des versements effectués sur le fonds en euros Netissima pour 2025 et 2026 :

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    À noter : la bonification porte uniquement sur les souscriptions et les versements libres (hors programmés) effectués entre le 01/06/2025 et le 31/07/2025 et sera attribuée au prorata temporis sur la durée d'éligibilité.

    Face à la baisse des rendements de l'épargne réglementée, voici une occasion unique d'investir votre épargne. Si, comme la plupart des Français, vous souhaitez une garantie du capital sans renoncer à un rendement performant, les fonds en euros boostés sont faits pour vous.

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    Investir en unités de compte présente un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

    Communication non contractuelle à caractère publicitaire.

    ⁽¹⁾ Net de frais de gestion et hors prélèvements sociaux et fiscaux, selon les modalités précisées dans la Note d’information valant Conditions générales concernée.

    Conditions de l'offre :

    Cette offre est disponible du 1er juin et le 31 juillet 2025, pour les investissements dont le dossier est reçu complet chez l'assureur entre le 1er juin et le 31 juillet 2025 inclus.

    Cette offre est accessible dès le 1er euro et pour tout versement inférieur ou égal à 1 million d'euros. Pour les investissements supérieurs à 1 million d’euros, veuillez vous rapprocher d'un conseiller.

    Afin de bénéficier de la bonification, les versements ne doivent pas provenir d’un rachat partiel ou total effectué sur un contrat Generali.

    Les contrats ayant fait l'objet d'un rachat partiel ou total sur cette période ne pourront pas bénéficier de ce dispositif.

    Cette bonification se cumule au taux servi sur le contrat dans une limite de rémunération globale du fonds en euros Netissima liée au versement de 4,60 % nette (5,35 % brute) de frais de gestion avant prélèvements sociaux et fiscaux.

    Cette offre est susceptible d'évoluer et pourra être fermée à tout moment. Les transferts pactes ne sont pas éligibles à cette opération commerciale.

    Le contrat d'assurance vie Meilleurtaux Allocation Vie est un contrat d'assurance vie individuel libellé en euros et / ou supports en unités de compte. Il est assuré par Generali Vie, entreprise régie par le Code des assurances. Il est distribué par Meilleurtaux Placement, SAS au capital de 100 000 €, RCS Paris 494 162 233, 95 rue d’Amsterdam 75008 PARIS, ORIAS n°07 031 613 en qualité de COA CIF MIOBSP, adhérent CNCEF Patrimoine.

    Le document d’information clé du contrat Meilleurtaux Allocation Vie contient les informations essentielles de ces contrats. Vous pouvez obtenir ce document sur notre site.

    Les modalités de souscription, consultation et gestion en ligne du contrat sont précisées dans la Note d’Information valant Conditions Générales du contrat d’assurance vie Meilleurtaux Allocation Vie.

    Quels supports d’épargne choisir pour remplacer le livret A 

    La diminution du taux de rentabilité du Livret A (- 0,6 %) fait partie des premiers impacts significatifs du recul de l’inflation. À cause de cette baisse, de nombreux Français pensent se tourner vers un autre produit de placement, sans prendre trop de risques. Plusieurs options peuvent d’ailleurs être envisagées, mais plus pour compléter le Livret A que pour le remplacer.

    Découvrez ce placement qui coche deux cases : un potentiel de gain attractif et la tranquillité d’esprit

    L'idée d'investir vous tente, mais l'imprévisibilité des marchés financiers vous inquiète ? Découvrez un placement pensé pour vous offrir plus de visibilité : vous connaissez à l'avance les objectifs de gains et les niveaux de protection de votre capital. En somme, toutes les règles sont définies dès le départ, vous permettant d'investir en toute connaissance de cause.

    Un placement avec des règles du jeu claires dès le départ !

    Si vous souhaitez investir votre argent, mais que l'incertitude des marchés financiers vous inquiète, les produits structurés sont la bonne alternative. Avec les produits structurés, vous savez, avant même d'investir, ce que vous pourriez potentiellement gagner et, surtout, si votre capital est protégé. Ce sont des placements conçus pour vous offrir une vision claire de ce qui va se passer. Toutes les règles, les gains possibles et même les "filets de sécurité", sont connues à l’avance.

    Comment cela fonctionne-t-il concrètement ?

    Un produit structuré est lié à l'évolution de ce que l'on appelle un sous-jacent. Il peut s'agir d'un indice boursier (comme le CAC 40 qui regroupe les plus grandes entreprises françaises), d'une action d'une entreprise spécifique, ou même d'un panier d'actions. La performance de votre investissement dépendra de l'évolution de ce sous-jacent.

    Mais la grande différence, c'est que vous connaissez à l'avance les conditions de gain et les conditions de protection de votre capital. L'émetteur du produit (la banque ou l'organisme financier qui le crée) fixe des objectifs de rendement et des niveaux de protection.

    Voici le principe de base :

    • Vous savez ce que vous visez : Dès le départ, l'objectif de rendement annuel du produit vous est communiqué. Par exemple, 10 % par an.
    • Des rendez-vous réguliers : À des dates précises (tous les trimestres, tous les ans, par exemple) aussi appelées “dates de constatation”, l'évolution du sous-jacent est observée par rapport à son niveau de départ :
      • Si la situation est favorable : Si le sous-jacent a évolué comme prévu (par exemple, s'il n'a pas trop baissé ou même s'il a légèrement monté), le produit peut s'arrêter et vous récupérez votre capital initial plus les gains prévus. C'est ce qu'on appelle un remboursement anticipé.
      • Si l'investissement se poursuit : Si les conditions ne sont pas remplies pour un remboursement anticipé, le produit continue jusqu'à la prochaine date où le niveau est une nouvelle fois constaté et ainsi de suite jusqu'à sa date d'échéance finale (qui peut être dans 8, 10 ou 12 ans).
    • À l'échéance finale (par exemple au bout de 10 ans), trois scénarios sont possibles :
      • Le scénario idéal : vous obtenez un gain ! Si le sous-jacent est resté au-dessus d'un certain niveau (appelé barrière de paiement des gains), vous récupérez votre capital et tous les gains accumulés.
      • Le scénario neutre : vous récupérez votre capital. Même si vous n'avez pas obtenu de gain, le produit dispose d'une barrière de protection du capital. Si le sous-jacent n'est pas descendu en dessous de cette barrière, vous récupérez l'intégralité de votre capital de départ. Vous n'avez rien gagné, mais vous n'avez rien perdu non plus.
      • Le scénario moins favorable : vous pouvez perdre une partie de votre capital. Si le sous-jacent a fortement chuté et qu'il est passé sous la barrière de protection du capital, vous subirez une perte. La perte peut être partielle ou totale, proportionnelle à la baisse du sous-jacent.

    Chez Meilleurtaux Placement, nous proposons deux gammes de produits structurés pensées pour répondre à différentes stratégies d'investissement :

    • Sécurisez votre capital avec notre produit structuré à capital garanti à l'échéance. Idéal pour les investisseurs soucieux de protéger leur épargne, ce placement vous permet de viser un rendement tout en ayant la certitude de retrouver votre capital initial à l'échéance, quelle que soit l’évolution du sous-jacent. C'est la solution parfaite pour limiter les risques de perte en capital.
    • Je souhaite avoir plus d’informations sur ce produit
    • Visez un rendement potentiellement plus élevé avec un produit structuré avec lequel vous êtes prêt à accepter un risque de perte en capital partiel ou total. Il est conçu pour vous offrir des perspectives de gains intéressantes, tout en intégrant des mécanismes de protection que nos conseillers vous expliqueront en détail.
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    Les avantages à investir avec les produits structurés

    L'intérêt principal de ces placements réside dans la visibilité et la protection qu'ils offrent :

    • Des règles claires dès le départ : Vous savez à l'avance quel est l'objectif de rendement et dans quelles conditions votre capital est protégé. Aucune mauvaise surprise sur les règles du jeu !
    • Une protection dans le cadre d’une baisse limitée : La plupart des produits structurés intègrent une protection contre des baisses modérées du marché. Cela signifie que votre capital peut être remboursé même si le marché a un peu baissé, tant qu'il ne franchit pas une certaine limite.
    • Un rendement potentiel attractif : Ces produits peuvent offrir des rendements intéressants tout en conservant une certaine sécurité.

    Un exemple concret pour y voir plus clair

    Imaginons que vous investissez dans un produit structuré lié à l’indice XYZ.

    • Durée maximale : 10 ans
    • Remboursement anticipé activable tous les ans selon le niveau de l’indice
    • Objectif de gain annuel : 10 %
    • Barrière de remboursement anticipé : Si le XYZ est au-dessus de son niveau de départ à chaque date de constatation annuelle, le produit est remboursé avec un gain annuel de 10 % par année écoulée.
    • Barrière de paiement des gains à l’échéance : Si le XYZ n’enregistre pas une baisse de plus de 30 % au bout de 10 ans, le produit est remboursé avec le gain annuel de 10 %, soit un gain de 100 % (gain annuel de 10 % cumulé sur 10 ans).
    • Barrière de protection du capital à l'échéance : Votre capital est protégé si le XYZ n'a pas baissé de plus de 50 % par rapport à son niveau initial à l'échéance finale.

    Voici les scénarios possibles :

    Scénario le plus favorable (remboursement anticipé) : le marché est stable ou en hausse

  • Après 1 an : le XYZ est au-dessus de son niveau de départ.
  • Résultat : vous profitez d’un remboursement anticipé. Vous récupérez donc le capital investi + un gain de 10 %.
  • Scénario favorable (à l’échéance) :une légère baisse au bout de 10 ans

  • À l’échéance : le XYZ a baissé de 10 % par rapport au niveau constaté au lancement du produit.
  • Résultat : le XYZ n’ayant pas subi une baisse de plus de 30 % à l’échéance, le produit est remboursé et vous obtenez un gain de 100 %.
  • Scénario médian : un marché baissier mais une protection du capital activée

  • À l’échéance : le XYZ a subi une baisse de 35 %.
  • Résultat : puisque la baisse est supérieure à la barrière de paiement des gains (-30 %) mais inférieure à la barrière de protection du capital (-50%), vous ne gagnez rien, mais vous récupérez l'intégralité de votre capital investi. C'est ça la protection !
  • Scénario défavorable : le marché s’effondre !

  • À l’échéance : le XYZ subit une baisse de 55 % dépassant la barrière de protection du capital (-50 %).
  • Résultat : Vous perdez une partie de votre capital, ici 55 %.
  • produit strucutré

    En résumé : les produits structurés sont une manière d'investir avec un cadre et des règles bien définis. C'est une option à considérer si vous cherchez à allier un potentiel de rendement avec une certaine visibilité et une protection de votre capital. Pour investir dans un produit structuré, c’est simple. C’est un support d’investissement que vous pouvez loger dans votre assurance-vie ou votre Plan d’Épargne Retraite (PER).

    Comme expliqué précédemment, c’est l’émetteur du produit qui fixe les règles. Chez Meilleurtaux Placement, nous proposons deux produits avec des caractéristiques différentes, pensés pour répondre à votre profil de risque :

    • Un produit à capital garanti à l’échéance. Son sous-jacent, le taux d’intérêt 10 ans, permet d’investir en misant sur une conviction : la baisse des taux d’intérêt. La particularité de ce produit : le capital investi est garanti quel que soit le niveau du sous-jacent à l’échéance.
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    • Un produit avec un rendement potentiel plus attractif qui, bien que le capital ne soit pas garanti à l’échéance, possède des barrières de protection. Il s'adresse aux investisseurs prêts à accepter un niveau de risque supérieur pour viser une meilleure performance.
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    Communication non contractuelle à caractère publicitaire. Les produits structurés présentent un risque de perte en capital partielle ou totale et doivent s'envisager sur une période d'investissement pouvant courir jusqu'à leur date d'échéance. Par conséquent, ils ne sont pas adaptés à des investisseurs âgés ou souhaitant sortir avant la date d'échéance du produit. Il convient de ne pas avoir besoin des capitaux investis puisque la durée de cet investissement n'est pas connue à l'avance. Les investisseurs ne sont pas protégés contre l'effet de l'inflation dans le temps. Le rendement réel du produit corrigé de l'inflation peut par conséquent être négatif. Meilleurtaux Placement recommande à tout souscripteur intéressé par un investissement dans un produit structuré de contacter son conseiller afin d'être accompagné dans l'appréciation de son caractère approprié, et ce notamment au regard des risques inhérents au support encourus, détaillés dans sa documentation juridique et commerciale disponible sur notre site internet ou auprès de nos conseillers. Dans le cadre d’un contrat d’assurance-vie ou de capitalisation, l’assureur s’engage exclusivement sur le nombre d’unités de compte mais non sur leur valeur, qu’il ne garantit pas. L'investissement portant sur des supports en unités de compte présente un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et sont dépendantes notamment de l'évolution des marchés financiers.

    Quels sont les placements les plus performants selon l'horizon de placement ?

    Pour évaluer la performance d'un investissement, il est essentiel de considérer son horizon de placement et le contexte macroéconomique. Un placement peut briller sur 5 ans et décevoir sur 30, ou inversement. Et au-delà de la durée, le contexte macroéconomique – inflation, taux d’intérêt, crises financières – joue un rôle clé dans les performances des différents actifs. L’étude annuelle de l’IEIF, qui compare 40 ans de performances (1984-2024), le montre clairement : il n'y a pas de champion toutes catégories, seulement des placements qui excellent sur une certaine période.

    40 ans de performances comparées (1984-2024)

    Pour tout investissement, il est souvent mentionné la quête de performance et donc du meilleur placement. Sauf que la notion même de « meilleur placement » est intrinsèquement liée à l’horizon de temps. Sur 5 ans, 15 ans, 30 ans ou 40 ans, ce n’est pas la même classe d’actifs qui trône sur le podium du meilleur placement. La plus performante sur une courte période n’est pas nécessairement celle qui excelle sur le long terme et l’étude publiée par l’IEIF en avril 2025 le confirme. Chaque année, l’IEIF (Institut de l'Épargne Immobilière et Foncière) publie son étude phare « 40 ans de performances comparées ». L’objectif de cette étude est de mettre en perspective l’immobilier avec les autres placements financiers sur différentes périodes.

    L’édition 2025 couvre donc la période 1984-2024. Une période durant laquelle les marchés financiers et immobiliers ont traversé 4 grandes crises :

    • Le krach obligataire et boursier de 1987
    • L’éclatement de la bulle internet au début des années 2000
    • La crise financière de 2008
    • La crise sanitaire de 2020

    Rien que sur les 5 dernières années l’environnement économique mondial a rapidement évolué (crise sanitaire, guerre en Ukraine, inflation et hausse des taux d’intérêt…). Autant d'événements qui ont eu, et continuent d'avoir, un impact considérable sur la performance des placements financiers. Il est intéressant de noter que l'étude de l'IEIF, bien que très complète sur les classes d'actifs traditionnelles, ne mentionne pas certaines options de placement qui ont pourtant démontré des performances remarquables.

    C'est le cas par exemple des cryptomonnaies. Le Bitcoin, à lui seul, a largement surperformé toutes les classes d'actifs étudiées et mériterait une comparaison sur les périodes de 5 et 15 ans. Cette absence soulève la question de la pertinence de n'analyser que les placements classiques face à l'émergence de nouvelles catégories d'actifs. De même, la dette privée, longtemps réservée aux investisseurs institutionnels, n'est pas mentionnée. Ce type de placement offre pourtant des opportunités de diversification et de rendement qui mériteraient d'être intégrées dans une analyse comparative des performances sur le long terme.

    Il est donc judicieux d'élargir l'analyse de l'IEIF à d'autres classes d'actifs pour avoir une vision plus complète du paysage de l'investissement.

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    Des performances différentes selon les périodes

    Investir, c'est aussi naviguer dans un environnement en perpétuel mouvement. La notion de "meilleur placement" peut être transitoire, car les conditions changent, et avec elles, les opportunités. Voyons concrètement comment les différentes classes d'actifs se sont comportées à travers le temps.

    Sur 5 ans (2019-2024) : +11,27 % pour l’or

    Ces dernières années ont prouvé que l’or joue un rôle de valeur refuge au travers des crises et événements récents : crise sanitaire, conflit géopolitique et guerre commerciale. L’or a d’ailleurs atteint un record de 3 499 dollars l’once avec une hausse de 31,5 % depuis le début de l’année. Déjà historiquement, le cours de l’or a augmenté lors de crises majeures. Celui-ci est vu comme une valeur refuge puisqu’il a la capacité à conserver sa valeur quand d’autres actifs chutent.

    Vous envisagez d’investir dans l’or en 2025 ? Meilleurtaux Placement vous guide avec son dossier spécial. Vous souhaitez simplement répliquer les performances de l’or avec un ETF ? Nous avons une solution.

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    Bien que l'or ait brillé sur cette période, il n'a pas été le seul à offrir une protection contre l'inflation. Les épargnants ont aussi pu profiter sur les trois dernières années du regain d'attractivité des placements à capital garanti avec notamment des livrets d'épargne devenus plus rémunérateurs et des fonds en euros boostés.

    En revanche sur ces 5 dernières années, de nombreux placements sous-performent l’inflation à 2,86 % en moyenne par an sur la période 2019-2024. Les SCPI, l’assurance-vie, le livret A, les commerces et les placements monétaires n’ont pas permis de protéger le pouvoir d’achat des investisseurs. Pire encore, certains placements affichent un TRI négatif. C’est le cas des bureaux, du logement parisien, des OPCI, des obligations et des foncières. Cela représente une période d’ajustement liée au retour de l’inflation et à la remontée des taux.

    placements tri 5 ans

    Source : IEIF

    Sur 15 ans (2009-2024) : +8,93 % pour les actions vertes

    Sur du long terme (15 ans), les actions sont le placement avec la meilleure performance sur la période 2009-2024 avec un TRI à 7,8 % pour les actions et un TRI à 8,93 % pour les actions vertes en Europe. Non loin derrière, l’immobilier direct affiche de belles performances (7,78 % pour la logistique en France, 5,52 % pour le logement en France et 5,35 % pour le logement à Paris) et l’immobilier indirect également avec les SCPI qui ont généré un TRI de 5,26 % sur 15 ans. Il existe en revanche une forte dichotomie entre les classes d’actifs immobiliers avec des performances moindres pour certaines (4,94 % pour les foncières, 4,83 % pour bureaux en France et 2,94 % pour les OPCI).

    Parmi les placements les plus performants, l’or a offert un TRI de 7,70 % sur 15 ans.

    placements tri 15 ans

    Source : IEIF

    Sur 30 et 40 ans : l’immobilier et les actions en tête

    Sur la période 1994-2024 (30 ans), l’immobilier est une classe d’actif performante avec un TRI de 9,73 % pour les foncières, 9,45 % pour le logement en France et 7,61 % pour le logement à Paris. Sur la même période, les actions ont obtenu un TRI de 8,82 %.

    Sur la période 1984-2024 (40 ans), les placements les plus performants sont similaires à ceux de la période sur 30 ans, sauf que ce sont cette fois-ci les actions qui sont en tête avec un TRI de 11,80 %, suivi de la classe d’actifs immobiliers avec le logement à Paris (10,12 %), les foncières (9,50 %), les OPCI (8,17 %) et les SCPI (7,51 %).

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    Quel couple rendement-risque sur 40 ans ?

    L’IEIF finit son étude en positionnant chaque placement selon sa performance annualisée et le risque encouru. Sur les 40 dernières années, les actions affichent la meilleure performance. Cependant, l'immobilier les talonne et présente l'avantage, pour certaines catégories, de limiter la prise de risque. Il est important de souligner que les actions sont la classe d'actifs qui présente la plus forte volatilité, ce qui signifie qu'elles ne conviennent pas à tous les investisseurs ou ne devraient pas constituer une part excessive de leur portefeuille.

    rendement risque sur 40 ans

    Source : IEIF

     

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    La gestion pilotée comme solution d’investissement adaptée quel que soit l’horizon de placement

    Ces constatations, mises en avant par l'étude de l'IEIF, révèlent que chaque placement réagit distinctement selon la période et le contexte macroéconomique. L’étude souligne donc l'importance d'une allocation d'actifs non seulement réfléchie, mais aussi diversifiée et régulièrement ajustée. Pour les investisseurs qui souhaiteraient prendre en compte ces arbitrages cruciaux, la gestion pilotée de l'assurance-vie se révèle une solution pertinente. Elle permet de diversifier le portefeuille et de s'adapter aux évolutions macroéconomiques grâce à une stratégie d'investissement pilotée par des experts et alignée sur les objectifs et l'horizon de temps de chacun.

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    L'expertise de Marc Fiorentino au service de vos objectifs

    Marc Fiorentino et son comité d'investissement se réunissent chaque mois pour analyser l’environnement macroéconomique, valider l’allocation d’actifs et procéder si besoin aux éventuels ajustements jugés pertinents, en cohérence avec les anticipations de Marc Fiorentino. Ainsi, en période de turbulences économiques, votre allocation est modifiée pour optimiser votre rendement tout en respectant votre profil de risque (prudent, équilibré, dynamique ou audacieux). Selon vos objectifs et votre tolérance au risque, les experts ajusteront vos investissements entre actions, obligations, fonds en euros, ETF, immobilier, private equity, et bien plus encore.

    Par exemple : sur la gestion pilotée Pilot, l’exposition aux actions américaines et aux matières premières a été réduite ces derniers mois afin de sécuriser une partie des gains, compte tenu du contexte marqué par la guerre commerciale de Donald Trump. Au plus fort de la tempête début avril, une ligne sur l’indice américain a été réintégrée dans les allocations de la gestion pilotée Pilot.

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    Communication à caractère promotionnel Pour la part investie en Unités de Compte et en parts de provisions de diversification, les montants investis ne sont pas garantis et sont sujets à des fluctuations à la hausse ou à la baisse dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. * Rendement : taux de distribution, défini comme le dividende brut, avant prélèvements français et étrangers (payés par le fonds pour le compte de l'associé), versé au titre de l'année N (y compris les acomptes exceptionnels et quote-part de plus-values distribuées) divisé par le prix de souscription au 1er janvier de l'année N de la part. Cet indicateur permet de mesurer la performance financière annuelle de CORUM Origin. Les parts de SCPI de rendement sont des supports de placement à long terme (minimum 10 ans) et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. Le capital investi dans la SCPI n’étant pas garanti, cet investissement comporte un risque de perte en capital. Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques : absence de rendement ou perte de valeur, qui peuvent toutefois être atténués par la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La SCPI CORUM Origin, visa SCPI n°12-17 de l'AMF du 24 juillet 2012 est gérée par CORUM Asset Management, société de gestion de portefeuille, SAS au capital social de 600 000 €, RCS PARIS n° 531 636 546. Siège social 1 rue Euler 75008 Paris. Agrément AMF GP-11000012 du 14 avril 2011. CORUM L'Épargne, SAS au capital social de 1 000 000 €, RCS Paris n° 851 245 183, siège social situé 1 rue Euler 75008 Paris, inscrite auprès de l'ORIAS sous le numéro 20002932 (www.orias.fr) en ses qualités de conseiller en investissements financiers, membre de la CNCEF, chambre agréée par l'AMF, de mandataire en opérations de banque et services de paiement, de mandataire d'intermédiaire d'assurance et d'agent général d'assurance sous le contrôle de l'ACPR, 4, place de Budapest CS 92459, 75436 Paris Cedex 9. Meilleurtaux Liberté Vie est un contrat individuel d’assurance vie de type multisupports distribué par Meilleurtaux Placement et assuré par Spirica (filiale à 100 % du Crédit Agricole Assurances), SA au capital social de 231 044 641,08 euros, entreprise régie par le code des assurances, RCS Paris n° 487 739 963, 16-18, boulevard de Vaugirard 75015 PARIS. Les garanties de ce contrat peuvent être exprimées en Unités de Compte, en parts de provisions de diversification et en euros.

     

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