Alors que l’assurance vie reste un pilier central de l’épargne des Français, le gouvernement étudie des réformes fiscales majeures dans le cadre du budget 2026. Une hausse éventuelle des prélèvements sociaux et du PFU pourrait diminuer la rentabilité des contrats les mieux dotés, tout en renforçant les recettes publiques.
- Pilier de l’épargne individuelle, l’assurance vie pourrait voir sa fiscalité évoluer significativement avec le budget 2026.
- La hausse de la flat tax et des prélèvements sociaux représente un équilibre délicat entre nécessité de recettes publiques, équité fiscale et attractivité économique.
- Cette réforme potentielle pourrait redéfinir durablement le paysage fiscal des placements financiers en France.

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Les objectifs budgétaires et la pression sur les revenus du capital
Pour équilibrer le budget 2026, le gouvernement prévoit de mobiliser de nouvelles ressources en ciblant les revenus du patrimoine et de l’épargne. Parmi les pistes envisagées, une augmentation de la contribution sociale généralisée (CSG) sur les revenus financiers pourrait rapporter jusqu’à 1,9 milliard d’euros, selon l’ampleur de la hausse, comprise entre 0,5 et 1 point. Cette démarche s’inscrit dans une logique de redistribution et de justice fiscale, tout en tenant compte des contraintes politiques et de la sensibilité des acteurs économiques.
Dans ce cadre, l’assurance vie qui bénéficie historiquement d’un régime fiscal favorable devient un levier potentiel pour générer des recettes supplémentaires. Les contrats les plus performants, particulièrement ceux postérieurs à septembre 2017, sont ainsi directement concernés par toute modification de la flat tax ou des prélèvements sociaux.

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La flat tax sous pression : quel impact sur les épargnants ?
Introduite en 2018 pour simplifier la fiscalité et stimuler l’investissement, la flat tax de 30 % s’applique aux revenus du capital en combinant impôt sur le revenu et prélèvements sociaux. Cependant, l’introduction, dès 2025, de la contribution différentielle sur les hauts revenus (CDHR) a déjà altéré cette neutralité.
ImportantLes contribuables percevant plus de 250 000 euros de revenus financiers pour une personne seule, ou 500 000 euros pour un couple, se voient imposer une surtaxe, portant le taux effectif au-delà des 30 % initiaux et fragilisant l’uniformité du dispositif.
Le PFU demeure un outil fiscal de premier plan : en 2024, il a permis de collecter 6,8 milliards d’euros, et une augmentation d’un point pourrait générer environ 240 millions d’euros supplémentaires. Dans cette perspective, un relèvement à 36 % pourrait rapporter près de 1,5 milliard d’euros, avec un impact particulièrement marqué sur les épargnants disposant de portefeuilles importants.