Porté par les tensions géopolitiques, la dette publique et les achats des banques centrales, l’or a enchaîné les records en 2025. Que faut-il attendre pour 2026, entre consolidation et nouveaux sommets?
- Records 2025 : kilo au-delà de 120 000 euros, hausse moyenne proche de 40%.
- Demande historique au T3 : 1 313 tonnes, 146 milliards de dollars (WGC).
- Objectifs 2026 : plus de 4 000 $ l’once, 130 000–135 000 € le kilo.
- Allocation en hausse : de 5% vers 10–20% selon certains gestionnaires.
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Ce que les épargnants doivent savoir début 2026
Après une année 2025 hors normes, le métal jaune entre en 2026 sur des sommets historiques. Valeur refuge par excellence, il a bénéficié d’un contexte mêlant incertitudes économiques, dettes publiques en hausse et retour marqué des banques centrales sur le marché. La question centrale demeure: la tendance peut-elle continuer ou le marché a-t-il déjà intégré l’essentiel des soutiens?
Les ressorts de la flambée 2025
L’exercice 2025 a marqué un tournant. Parti autour de 2 500 à 2 600 dollars l’once, le cours a touché des plus hauts à l’automne. En euros, le kilo a dépassé 120 000 euros en octobre, une première. « Sur l'ensemble de l'année, on est sur une progression moyenne proche de 40%, ce qui est exceptionnel pour un actif historiquement plutôt régulier », souligne Alexis Monceaux, directeur général de Godot & Fils (cité par MoneyVox).
Le regain s’est cristallisé à la fin de l’été, sur fond de craintes de récession aux États-Unis, de fragilités en Europe et d’inquiétudes sur la dette mondiale. Côté acteurs, le moteur principal a été institutionnel: « Les banques centrales achètent de l'or comme elles ne l'avaient plus fait depuis des décennies ». La Chine a renforcé ses réserves, envoyant au marché un signal de diversification face au dollar.
Selon le World Gold Council (WGC), la demande mondiale a atteint 1 313 tonnes au troisième trimestre, un plus haut en vingt-cinq ans, pour une valeur d’environ 146 milliards de dollars sur la période (Source : WGC, 2025). Les tensions sur l’or physique se sont accrues: « Là où il fallait quelques jours pour produire plusieurs dizaines de kilos, il faut désormais parfois plusieurs semaines ».
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Quel scénario pour 2026 ?
À court terme, une consolidation n’est pas exclue: l’or progresse par cycles et sur le temps long. « Il peut y avoir des phases de respiration, mais historiquement, les anciens plus hauts deviennent souvent les nouveaux planchers », rappelle Alexis Monceaux. La dynamique actuelle s’appuie surtout sur des flux de long terme, loin d’une bulle spéculative.
Cibles de prix et allocations
Pour 2026, le consensus de grandes banques comme JP Morgan et Goldman Sachs évoque des objectifs au-delà de 4 000 dollars l’once, ce qui placerait le kilo entre 130 000 et 135 000 euros. « Même lors des corrections passées, comme après le pic de 2011, l'or n'a jamais connu d'effondrement brutal. Les replis ont été étalés dans le temps, et les investisseurs patients sont revenus en territoire positif en quelques années. » Sur longue période, la performance annualisée de l’or oscille entre 7 et 8%.
Dans cette optique, 2026 peut encore constituer un point d’entrée, notamment pour les portefeuilles peu exposés. « L'enjeu n'est pas de viser le point bas parfait, mais d'avoir de l'or dans son patrimoine », avec des achats étalés pour lisser le risque.
Poids croissant dans les portefeuilles
La part de l’or dans les allocations évolue: « Longtemps cantonné à 5% des actifs, le métal jaune représente désormais 10%, voire 15% ou 20% des allocations recommandées ». « Quand cette allocation devient une nouvelle norme, ce n'est pas une bulle, ce sont les données macroéconomiques qui parlent », estime le dirigeant de Godot & Fils.
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Inflation, risque de récession, instabilité financière: les facteurs à l’œuvre en 2025 restent présents en 2026. Plus assurance patrimoniale qu’actif spéculatif, « Ce n'est pas un produit que l'on achète pour faire des allers-retours rapides, mais un actif que l'on met de côté et que l'on conserve ».