Ces dernières années, les français se lancent de plus en plus dans la recherche d’un excellent contrat d’assurance-vie. Entre 2015 et 2018, les chiffres ont été optimistes pour les établissements se spécialisant dans ce secteur. Bien que le patrimoine financier ne soit pas très fructueux, le nombre de français intéressés par le domaine a miraculeusement progressé.
L’intérêt de la population vis-à-vis de de l’assurance-vie est justifié par leur besoin de se sentir sécurisé. Dans ce sens, les résultats de l’analyse réalisée par l’Insee se montrent différents pour chaque tranche d’âge. À ce niveau, les seniors sont beaucoup plus intéressés que les autres de par leur âge avancé qui est synonyme d’affaiblissement tant sur le plan financier que médical.
Mis à part cela, les supports multiples ont porté leur fruit quant à leur performance. Leur impact favorise particulièrement les maisons d’assurance. Aujourd’hui, il ne reste plus qu’à espérer un effet à long terme de cette production fructueuse.
Si le contrat vie se montre sous son meilleur jour en termes d’évolution, les autres valeurs mobilières sont en retard, voire en régression. Reste à savoir pourquoi les français sont réticents par rapport à certains produits financiers risqués.
Explication raisonnable de cet intérêt progressif
L’assurance-vie, de l’année 2015 à 2018, a changé de but en blanc. Au cours de cette période, elle est devenue le placement le plus apprécié de la population française. Dans ce domaine, les quatorze dernières années ont été remarquables dans le sens où le taux de détention d’un contrat d’assurance est passé de 26,2% en 2004 à 39% en 2018.
Au moyen des différents facteurs qui interagissent pour faire fonctionner le marché financier, des réponses sont apportées. Il est à noter que le taux d’appartenance à une maison d’assurance n’est pas similaire pour les personnes âgées et les autres.
Ainsi, les gens ayant plus de 60 ans sont contraints de faire appel à un professionnel afin de vivre sereinement leur vie de retraités. Pour preuve, 44,3% des foyers ayant un senior en tant que référence disposent d’une assurance-vie. Alors que le pourcentage est de 23,7% auprès des ménages dont les membres ont, au plus, 30 ans.
En outre, ce type d’assurance est considéré comme étant un produit d’épargne à transfert de patrimoine permettant aux intéressés de bénéficier d’une fiscalité profitable. Ainsi, il attire plus d’individus, particulièrement, ceux en quête de facilité d’accès.
Généralement, ce placement est largement percutant auprès des cadres retraités, mais également de la profession libérale. Comparées aux agriculteurs avec un taux de 58%, ces deux catégories de professions proposent mieux avec un pourcentage de 65,4% en matière de détention de contrat. Derrière les trois CSP (contrat de sécurisation professionnelle), les commerçants et les chefs d’entreprises arrivent avec 53%.
Quelques mots sur la crème des placements que sont les multisupports
Le contrat multisupport en assurance vie se définit comme étant un produit d’épargne apte à proposer plusieurs alternatives de placements. Cette diversité octroie plus de liberté, d’un côté, par rapport au nombre de contrats et d’un autre concernant le montant des versements.
Au même titre que l’assurance vie, le placement à plusieurs supports a connu un succès inouï. C’est-à-dire que les nombres de foyers ayant signé un contrat multisupport ont considérablement augmenté de 2015 à 2018. Soit un taux allant de 9,3% à 11,4%.
D’après les dires des professionnels travaillant pour l’Insee, la performance d’autres placements fléchit, ce qui se fait en faveur de ce type de contrat :
« Cette évolution récente peut s’expliquer par la baisse importante des rendements des fonds euros ; estimés en moyenne à 1,8% en 2017, ils sont en repli continu depuis 2014 (2,5%). Les rendements diminuaient déjà depuis 2010, mais, jusqu’en 2015, les ménages semblaient toujours privilégier la sécurité de leur placement plutôt que son rendement ».