L’attention des personnes qui souscrivent une assurance-vie est souvent figée sur la rentabilité des contrats. Pourtant, certaines dépenses s’imposent. Ainsi, il est important de connaître ces frais qui varient d’un support à un autre. En particulier, les services en ligne semblent être les plus profitables en raison de leur gratuité.
Les compagnies d’assurance ponctionnent parfois des frais aux épargnants. Alors que ces derniers ignorent la nature exacte de ces tarifs. Les plus fréquents correspondent à des prélèvements d’une partie du total investi en guise de commission pour l’établissement financier.
Et tandis que d’autres offrent une tarification très attractive, certains se montrent moins généreux. En effet, le coût des services changent en fonction de l’entreprise ou du type de contrat.
La stratégie gagnante pour éviter ces dépenses qui peuvent devenir très rapidement encombrantes est de souscrire à une offre sur le Web. La plupart des courtiers en ligne proposent effectivement la gratuité de leurs produits.
Des coûts disparates selon le type de contrat
Les versements en assurance-vie peuvent occasionner certains frais. À l’heure actuelle, la tarification sur le marché s’élève entre 3 et 4,5%. Alors que les assureurs ont la possibilité de plafonner ce ratio jusqu’à 5%. Ce taux est cependant négociable. Pour avoir plus de chance de le réduire, le montant du placement doit être signifiant, à l’horizon de quelques milliers d’euros.
En ce qui concerne la gestion des contrats, la charge annuelle est changeante en fonction de l’offre. Ainsi, les fonds en euros requièrent entre 0,3 et 1% de frais. Les supports en unités de compte, quant à eux, demandent entre 0,5 à 1%. Sur une vingtaine d’années de détention, ces tarifs peuvent cependant atteindre près de 16 à 20%. Du côté des fonds des unités de compte la tarification est comprise entre 1 et 3%.
Les contrats multisupports sont plus spécifiques,car ils sont adaptables selon la situation économique en vigueur ou la santé financière du portefeuille de l’épargnant. En général, le coût pour ce type de service oscille entre 0 et 1% du capital utilisé lors d’un transfert. Mais il arrive aussi que des frais fixes soient prélevés à hauteur de quelques dizaines d’euros.
Opter pour des supports numériques pour limiter les frais
Les offres en ligne sont très avantageuses en ce qui concerne la tarification. En effet, ces plateformes permettent aux investisseurs de réaliser des dépôts sans frais. Souscrire un contrat multisupport sur Internet permet également d’éviter une quelconque facturation. Sinon, le contractant peut choisir un produit qui propose plus de 2 arbitrages gratuits par an.
Au contraire, les dépenses occasionnées par les fonds en euros sont inévitables. L’unique option est de trouver des contrats proposant un taux inférieur à 0,5%. Et ils sont plus courants chez les mutuelles ou les associations d’épargnants.
La stratégie gagnante pour éviter ces frais reste cependant de recourir à l’aide des professionnels en la matière pour établir un comparatif assurance vie dans le but de profiter des meilleures conditions pour la tenue de son support de placements.